Annexes.

Que penser des firmes pharmaceutiques et de leurs études?

Pose parmi d’autres la question : La notice du médicament, une notice scientifique ou artistique? Étudie : les causes, les facteurs de risque, la sous-notification des effets indésirables, les biais des études, le patient, cet être unique !

La femme est-elle une malade en soi?

Pose aussi parmi d’autres questions : - La fertilité, une pathologie en soi? - Les menstruations, une pathologie en tant que telle? - Le dysfonctionnement sexuel féminin, une nouvelle épidémie? - L’utérus un organe de trop? - La naissance par voie vaginale, obsolète? L'accouchement naturel, une pathologie en soi? L’infertilité, une maladie en soi?

La thérapeutique hormonale substitutive (THS) pour la ménopause, un mythe? La THS prévient-elle l’ostéoporose? Cette thérapeutique à base des mêmes hormones que celles de la contraception hormonale présente aussi les mêmes risques cardiovasculaires, cancérigènes, ce qui une fois de plus confirme le danger de se les laisser prescrire à un âge jeune ou avancé !

Pour la fin de ce chapitre une question pertinente : Mais qui est malade?

 

La nouvelle religion, celle de la santé ?

Pour le Dr. Skrabanek : « La quête de la santé est signe de mauvaise santé, quand cette recherche n’a plus un caractère personnel mais relève d’une idéologie d’Etat, c’est le devoir de santé, elle constitue un symptôme de maladie politique, à son extrême une telle idéologie justifie le racisme, la ségrégation et l’eugénisme. On la retrouve sous une forme atténuée dans les démocraties occidentales, les hommes politiques tirent aisément profit de cette rhétorique de la bonne santé. Elle augmente leur popularité à peu de frais. Le culte de la santé est une idéologie puissante qui remplit le vide laissé par la religion. C’est le salut par la santé. »

Alors qu'en 1960, les pionnières de la contraception expliquaient que celle-ci ne mettait pas en danger la famille, qu'au contraire celle-ci rapprocherait sexuellement les couples et consoliderait la conjugalité, force est de constater que les divorces liés à la contraception n'ont fait qu'augmenter. 1 D’où la question La contraception, un service à la conjugalité?

 

Soyons attentif aujourd’hui car Le vent change, des jeunes filles veulent une contraception écologique

Les programmes d'information sexuelle, ne parlons pas d'éducation sexuelle, sont assez décevants, ils prétendent diminuer les grossesses, les maladies sexuellement transmissibles, alors que certaines études montrent une augmentation du nombre de grossesses.

Nous avons un regard particulièrement critique vis-à-vis de la philosophie des centres de planning qui sont sous tutelle pharmaceutique et qui auraient plutôt tendance, certes pas à éduquer notre belle jeunesse, mais plutôt à l’inciter au papillonnage.  Ne faut-il pas changer son fusil d'épaule?

 

Avec « Appel de la vie », le lecteur pourra comprendre que notre philosophie, notre éthique est semblable à celle de Pierre Rabhi, avocat d’une sobriété alimentaire heureuse, c’est dire que notre philosophie va à contre courant d’un certain « carpe diem » contemporain !

 



1 Pilule, sexe, ADN, Evelyne Sullerot 2006 Fayard