Le préservatif.
Le préservatif est un dispositif en matière souple, généralement en caoutchouc, il sert à couvrir le pénis et à empêcher le passage du sperme lors de l’éjaculation. Il est utilisé dans un but contraceptif ou de protection des maladies sexuellement transmissibles.
Selon une étude de 2007 de Niew Scientist, les femmes exposées au sperme seraient moins déprimés, le préservatif prive la femme d’hormones, notamment de la testostérone, qui lui assure un certain bien-être.Il est loin de satisfaire toutes les femmes, beaucoup supportent mal cette interruption dans les préliminaires et beaucoup sont irritées par la membrane en caoutchouc.
La toxicité
On constate des réactions d'allergie au latex parfois graves et certains condoms présentent une substance cancérigène (la nitrosamine [1]). Par ailleurs des douleurs peuvent surgir avec des préservatifs en polyuréthane. Ils augmentent les vaginites car ils sont insupportables pour la muqueuse vaginale
Le condom seul ou avec le spermicide nonoxynol 9 augmente l’incidence des infections urinaires chez la jeune femme. [2]
En fait, on ne sait pas la toxicité du préservatifs, les fabricants jouent à l'opacité!
L’efficacité du préservatif
Selon les sources, les grossesses connaissent un taux d'échecs allant de 9,8 à 18,5 grossesses par an pour 100 femmes [3], ou de 13,5 grossesses par an pour 100 femmes. [4]
En 1988 et 1989, plus de 30% des adolescentes enceintes avec le préservatif ont fait interrompre leurs grossesses, et une étude Anglaise effectuée en 1989 présente un taux d'échec de 43%! ( Brit j Fam Plan 1990 16:16-18)
Selon Ness, l'utilisation inconsistante du préservatif est significativement associée à une augmentation doublée à triplée d'infection génitale supérieure. ( Am j Obst gynocol, 2001;july,185 (1) 121-7)
Le préservatif protège en partie contre les maladies sexuellement transmissibles en les diminuant de +/- 50 %, il ne les éradique pas mais ralentit seulement leur progression. En effet, seul le programme abstinence, fidélité, condom en Ouganda a porté des fruits. Le pourcentage d’infection du virus du sida est passé de 12,87 % en 1991 à 5 % en 2001. (Source OMS) Ce programme demande aux jeunes l’abstinence.
Les maladies sexuellement transmissibles favorisent la transmission du virus VIH, par les microlésions qu'elles entraînent au niveau vaginal.
Le préservatif diminuerait de 70% la probabilité d’être contaminé par le virus du Sida, ce qui en d’autres mots signifie une probabilité de 30% d’être contaminé par ce virus.[5]
Il n'y a pas de séropositivité le lendemain d'une infection par le virus HIV, durant 6 semaines à 3 mois les tests de séropositivité sont en général négatifs. Durant tout ce temps la personne est évidemment contagieuse. En France, un séropositif sur deux ignore qu'il l'est!
Des raisons de l'inefficacité
- le taux de déchirure de 6,5 %, 10,1 %, 12,9 % [6], lors de l’usage.
- les lubrifiants gras qui dégradent le latex.
- les préservatifs défectueux, (5 produits sur 23 sont jugés médiocres [7]). Des Sud-africains préparent une action en justice pour 20.000.000 de préservatifs défectueux alors que des certificats de qualité avaient été distribués frauduleusement.[8]
Le latex est poreux, le diamètre est plus grand de 50 à 100 fois que le diamètre du virus HIV [9]. C'est pourquoi à New York la notice accompagnant chaque paquet de préservatifs informe que l'abstinence est le seul moyen fiable pour éviter une maladie sexuellement transmissible (10).
[1] Euro News: 28.5.2004
[2] Epidemiology, 2002 July 13 (4) 431-6
[3] Medicinal Letter, 22 . 1. 1903
[4] Contraception de Dalsace et Palmer ; 1967 p. 119
[5] Susan C. Weller; A Meta analysis of condom effectiveness in reducing sexually transmitted WIH, 1993.
[6] Contraception 1992 45: 429-437
[7] Test Achat 1994 n° 366
[8] La Libre Belgique 1-2/12/2007
[9] The Truth about aids – Dr. P. Dixon p. 110
[10] Le soir, 22 novembre 1999