La pilule un bienfait pour ma santé, ma fertilité ?
« Il y a une tendance systématique de la médecine moderne à dissimuler la part de souffrance que le patient doit verser au nom du progrès médical ».
Jean Jacques Rocca « Sois malade et tais-toi »
Aujourd’hui comme hier, la contraception hormonale reste une panacée, elle est prescrite chez les jeunes femmes pour traiter certains problèmes gynécologiques bien qu’elle n’ait pas reçu d’indication pour ceux-ci. Cette prescription, véritable cheval de Troie, permet d’introduire discrètement et pour une bonne cause la contraception hormonale chez la jeune fille comme nous l’avons montré pour l’acné. Le traitement des symptômes n’est qu’en apparence bénéfique pour elle. Ainsi, la régularisation des règles est un grand leurre, puisque la femme subit inconsciemment une absence de règles c’est-à-dire un état pathologique, elle a en fait des fausses règles, cette régularisation des règles pourrait même augmenté considérablement un cancer de l’hypophyse.
La pilule peut masquer les irrégularités des règles liées à des ovaires polykystiques, à une hypothyroïdie,
à une ménopause précoce. Ces affections peuvent être une source d'infertilité.
Le côté analgésique de la contraception hormonale est aussi à première vue intéressant mais devient dangereux quand il diminue la symptomatologie des maladies sexuellement transmissibles, de l’endométriose, ces pathologies pourront alors évoluer silencieusement, ce qui pourra générer une hypofertilité. La pilule n’est pas indiquée pour L’acné, ni pour Les règles douloureuses, abondantes !
Concernant l'endométriose associée aux règles douloureuses, nous avons donné la mise en garde importante du Professeur et gynécologue C. Chapron. gynécologue, professeur C. Chaperon.
Nous voulons souligner combien peu sont respectées les indications, les contre-indication de la contraception hormonale et ce sera toujours alors à la femme à payer le prix fort de cette négligence !
Tandis que la contraception hormonale présente son coté apparemment bénéfique pour la femme, des maladies du système endocrinien vont apparaître après un certain temps ou être entretenues par la pilule, le système immunitaire sera déprimé, ce qui va générer silencieusement cancers bénins ou malins, augmenter les infections urinaires, les maladies sexuellement transmissibles. Les affections auto-immunes, cardiovasculaires, dont les lésions vasculaires vont progresser silencieusement, feront aussi avec le temps partie de l’héritage hormonal contraceptif !
Certes depuis l’apparition de la pilule, de décennie en décennie, les doses hormonales particulièrement celles de l’éthinylestradiol, ont diminué sa toxicité à un point tel que l’efficacité contraceptive peut en devenir plus aléatoire. Ces doses plus faibles, prises durant de longues années, malgré un suivi attentif du médecin, continueront quant même, comme des termites, à perturber silencieusement, dangereusement la santé féminine, provoquant à court terme ou à long terme des dégâts parfois irréversibles et les traitements médicamenteux, la chirurgie pourront dans certains cas réparer ces dégâts, dans d’autres cas, il n’y aura pas de réparation, bien plus il pourra même y avoir aggravation des lésions !
La toxicité de la contraception hormonale s’aligne on ne peut mieux sur celle initiée par Le tabac, car celui-ci et la pilule sont des perturbateurs endocriniens de première classe. Curieusement, ce dernier seul est reconnu comme tel par une certaine médecine ! De plus, la pilule peut initier et augmenter le tabagisme chez un nombre important de jeunes femmes.
La prise de La contraception hormonale estroprogestative, peut induire des ovaires de femmes ménopausées, une diminution du nombre des ovocytes, [1] avec à la clef une diminution de leur qualité. La contraception hormonale ainsi s’aligne parfaitement sur La contraception hormonale masculine , contraception générant un hypogonadisme, une diminution du nombre des spermatozoïdes et une augmentation de l’altération de leur morphologie.
Nous avons aussi voulu souligner, combien les antécédents de phlébite, d'infections urinaires, d'hypertension, de fausses couches, de grossesse extra- utérine, générés par la contraception, par leur récurrence éventuelle lors de la grossesse auront un impact néfaste sur elle. Un mauvais pli a été pris avant la grossesse et il pourra plus facilement, éventuellement se renouveler lors de celle-ci!
Les femmes avec un problème de santé qui prennent une contraception hormonale, s’exposent davantage à des problèmes de fertilité qui se manifesteront par des grossesses pathologiques. En effet, les facteurs de risque, énoncés au cours de ce livre, associés à la stérilité, à l’hypofertilité sont aussi associés à la contraception en tant que telle.
Nous avons aussi relevé que la plupart des femmes, présentant un problème gynécologique, n’ont pas été sélectionnées dans les études concernant la fertilité après contraception, c’est dire l’ignorance de la médecine concernant la fertilité future chez ces femmes après pilule !
Les femmes qui n’ont pas encore eu un enfant et sub-fertiles ne devraient pas prendre la pilule [2].tel est le conseil que donnait en 1967 la « New England Obstetrical and gynecologycal Society » conseil que nous pouvons encore faire nôtre aujourd’hui, en effet les femmes nullipares ignorent de fait la qualité de lleur fertilité , un certain nombre d'entre elles sont hypofertiles et la contraception hormonale a une grande probabilité de les enfoncer dans leur hypofertilité!
Concernant les jeunes femmes nullipares et saines, elles ne sont pas nécessairement à l’abri d’un problème de santé en effet celui-ci pourra être initié par la contraception.
Si nous pensons, que la fertilité féminine sera, après arrêt de la contraception, rapidement restaurée pour toutes les femmes, nous commettons une profonde erreur. Après arrêt de la contraception, les délais de conception peuvent être considérablement allongés, certaines femmes devront attendre des années avant de pouvoir avoir un enfant et cela indépendamment de leur âge. D’autres risqueront de souffrir d’une ménopause précoce induite ou cachée par la pilule. On pourrait comparer ces situations, à un chasseur qui voit sa proie de plus en plus s’éloigner et ainsi avoir moins de chances de faire mouche. Il faudra du temps pour que les lésions endocriniennes, organiques, provoquées par la contraception artificielle se restaurent éventuellement.
Certaines femmes qui prennent ou ont pris des hormones vieilliront plus rapidement.
Ménopause précoce, ostéoporose précoce, hypertension précoce, athérosclérose précoce, cancers gynécologiques précoces comme celui des seins, du col utérin, mortalité précoce,, augmentation des fausses couches… manifesteront on ne peut mieux ce vieillissement féminin inopportun pour sa fertilité. C’est une certitude, moins longtemps la femme prendra les hormones contraceptives, plus longtemps elle sauvegardera sa santé, sa fertilité !
La contraception hormonale n’est pas raisonnable, elle est une véritable incongruité endocrinologique qui ne peut qu’altérer la santé de la femme et sa fertilité. Viendrait-il à l’idée d’un médecin de prescrire de l’insuline à quelqu’un dont le pancréas est dans un parfait état, à quelqu’un qui ne souffre pas de diabète ? Si ce médecin prescrivait de l’insuline nous penserions qu’il n’est pas raisonnable. Comment se fait-il que nous n’ayons pas la même attitude critique face à la contraception hormonale, alors que le système endocrinien, ovarien, est en parfait état et que le médecin ignore encore toute la finesse de la physiologie de la reproduction ! En effet, le médecin ne connaît pas tous les mécanismes de la fertilité mais se permet de les perturber profondément. Ne joue-t-il pas à l’apprenti sorcier ?
Laissons la parole à Fabio Bertarelli, milliardaire suisse qui possède les laboratoires Serono, fabricant 70 % des médicaments contre la stérilité féminine vendue dans le monde, celui-ci a déclaré en 1993 au Wall Street Journal : « Nos clientes habituelles sont des femmes de plus de 30 ans qui prennent la pilule depuis qu’elles sont adolescentes ou à l’âge de 20 ans environ. »
Seule une attitude critique et une confiance en soi retrouvée pourront nous libérer de la manipulation des firmes pharmaceutiques, qui avec ses études soutenues par des experts achetés, ont peu de souci de la vérité et qui imposent sa contraception par son discours récurent comme la seule, la meilleure. Cette industrie méprise le choix, l’autonomie de pensée et d’action d’autrui, elle anesthésie à la longue l’esprit critique !
Ne nous laissons pas, plus manipuler par des médecins sous tutelle de cette industrie qui utilisent le chantage si la femme pense à abandonner sa contraception, , la menaçant d’un avortement subséquent, qui la disqualifient par des moqueries, un humour blessant si la femme ose mettre en question la pilule et cela afin de ne pas se remettre eux-mêmes en question. Ces médecins se déresponsabilisent des affections induites par cette contraception, et ils les attribuent uniquement à la femme, en la culpabilisant !
Une innovation au-delà des bienfaits attendus risque d’infliger des souffrances nouvelles. Il faut subordonner le principe de précaution au souci du lendemain. Aujourd’hui, ce principe de précaution est souvent, fortement évoqué, pour notre environnement (anhydride carbonique), notre alimentation (pesticides, OGM, …). Nous avons voulu au cours de ces pages le défendre, car il est un principe de sagesse, de bon sens, qui se refuse de jouer avec le feu, qui nous invite à la prudence, à la vigilance.
Etant donné la complexité du corps humain, la médecine a sur celui-ci une approche analytique, ponctuelle, segmentée, d’où le nombre de médecins spécialistes. Certains médecins spécialistes peuvent donc avoir en quelque sorte des œillères qui ne leurs permettent pas toujours de considérer le corps d’une façon globale, de saisir la réalité corporelle dans une large vision de synthèse, en vue de mettre en lumière la somme des interrelations, interactions complexes qui lient entre eux tous les organes. Le corps est un, comme un orchestre est un et si par hasard un musicien joue faux ce sont tous les membres de l’orchestre qui en sont affectés. Le lecteur aura compris que spécialement les hormones contraceptives perturbent non seulement les glandes endocrines et leur chef d’orchestre mais tous les systèmes, tous les organes. La santé du corps est mise à mal, la vie est mise à mal, les sources de la vie sont mises à mal. Cette merveilleuse unité du corps humain, cette musique symphonique du corps ne mérite-t-elle pas notre admiration, notre profond respect ?
Soyons attentifs au langage du corps. Avec Simone Pacot nous pensons que « Demeurer sourd et aveugle au langage du corps, esquiver le nécessaire questionnement sur la façon dont il est atteint (….), ne s’en occuper qu’en périphérie en quelque sorte, est une forme de fuite ; on n’habite pas alors véritablement son corps, on n’est pas familier de ce qui s’y vit, on passe à coté des indications qu’il nous donne sans arrêt sur les comportements qui ne sont pas justes. » [3]
Le corps est uni à l’esprit, si bien qu’on peut même aller jusqu’à dire : je suis mon corps. Il n’y a pas d’union charnelle sans qu’il n’y ait une résonance spirituelle. Les anciens disaient déjà : « Un corps sain dans une âme saine ». De même et en d’autres mots notre confrère et professeur Jean- Marie Pelt souligne que « si la guérison est évidemment d’essence matérielle elle tient aussi du spirituel » et qu '« avec la médecine moderne il n’y a plus de place pour l’œuvre du patient, pas plus que pour l’intervention d‘autres forces, fussent-elles spirituelles, le parcours est entièrement automatisé par la vision mécaniste du fonctionnement global des professions sanitaires. »
Dans son livre « La parole au cœur du corps » A. De Souzenelle fait ce constat : « Le mal-être de l’homme, en profondeur, procède de son divorce intérieur, d’une rupture de sa propre nature (…) L’erreur fatale des interprétations psychanalytiques est de vider l’Eros de la puissance de l’Esprit. La carence de cette dimension implique un refoulement spirituel, qui est à dénoncer aujourd’hui avec non moins de vigueur que le refoulement de la plus élémentaire sexualité, il y a 50 ans. » Avec la contraception moderne le risque est grand en dissociant le corps de l’esprit de réduire le corps à une marchandise, de le mépriser.
Aujourd’hui, une attitude raisonnable, réfléchie ne s’impose-t-elle pas d’autant plus que les couples ont à leur disposition une contraception écologique n’altérant aucunement la fertilité, efficace, gratuite, exigeante certes, mais qui peut entretenir la confiance, la fidélité ?
La féministe Françoise Edmonde Morin, dans son livre « La rouge différence » (Seuil), écrit : « Quand elle est pratiquée avec une forte motivation, l’abstinence n’est pas un motif de détresse, de misère morale. C’est un temps du corps. Chaque mois est reconduit le choix de procréer ou non, sans faire violence à l’organisme. Le corps ne doit pas être constamment à la disposition du désir sexuel. La fécondité doit avoir sa place. Le choix est précisément celui-ci : faire alterner les moments du corps ou le soumettre tout entier à une pulsion unique. Sexualité et sexualité, ou sexualité et fécondité. »
Nous sommes persuadés que la contraception artificielle a créé un malaise inavoué, profond dans une partie du monde médico-pharmaceutique, c’est pourquoi nous invitons nos confrères et les médecins à s’interroger, à se remettre en cause comme d’autres l’ont déjà fait, à mieux faire connaître aux couples les implications éthiques, toxicologiques de l'utilisation de la contraception artificielle.
Au début de la révolution sexuelle, de nombreux médecins (Rendu, Guy, Gauchard, Norman, Vincent, etc.) ont initié un grand nombre de couples au planning familial naturel. Pourquoi les médecins ne s'inspireraient ils pas aujourd’hui de l’exemple de la gynécologue Ellen Grant auteur du livre « The Bitter Pill », du gynécologue André Devos, qui au début de sa carrière a prescrit la contraception artificielle et ensuite a créé un centre de planning familial naturel en Flandre? Le Dr. André Devos, gynécologue, avec 15 centres de planning familial naturel, étudia son efficacité. L’étude a eu lieu à Düsseldorf entre 1989 et 1995 et un indice de Pearl de 2.6% fut trouvé pour la pratique courante (sensiplan-international.de) [4]
Soyons attentifs aux signes des temps, le vent change. Une revue critique médico-pharmaceutique belge, n° 37, décembre 2010 p. 106, mentionne l’étude de 2007 de Hum. Reprod. [5] où le planning familial est apparu aussi efficace que les contraceptifs hormonaux avec un indice de Pearl de 0, 6% pour une utilisation parfaite ( Sensiplan) ! De même, le répertoire commenté des médicaments de 2011, p. 206, fait mémoire de cette étude de Human Reprod., en spécifiant que cette contraception « naturelle » peut constituer une alternative pour les couples motivés.
Le 18 août 2013 Spiegel ONLIN avertissait ses lecteurs d’une planification efficace de la famille avec Sensiplan.
La mode change. Selon Valérie Lootvoet, directrice de l’Université des femmes [6] « un retour au naturel se fait jour, en particulier dans les jeunes générations de milieux favorisés. En réaction aux excès de la médicalisation et par conviction écologique aussi on voit des jeunes femmes revenir aux méthodes de contraception naturelle, vouloir accoucher à la maison, décider d’allaiter leur enfant durant de longs mois… »
Aujourd’hui, malgré un discours contraceptif « logorrhéique », le vent tourne, des filles de plus en plus nombreuses ne veulent plus de contraception hormonale. A "Aimer à l’ULB", centre de planning familial à deux pas du campus de l'Université libre de Bruxelles, Cécile Laurent, sexologue, explique que les filles qui refusent une contraception hormonale sont de plus en plus nombreuses; que ce soit, la pilule, un patch, un anneau contraceptif ou un implant. « Leur corps en est imbibé (…)Elles ont du mal à se dire qu'elles vont prendre un moyen chimique qu'elles vont éjecter dans la nature. »
Alice accepte de témoigner. Elle craint une réduction de fertilité et refuse d’avoir des cycles artificiels : "Mes ovaires, -alors que je suis toute jeune ne seraient plus capables de fonctionner par eux-mêmes. Par ailleurs, les urines pleines d’hormones déversées dans la mer rendraient des poissons hermaphrodites. Cela perturberait la reproduction de certaines espèces de poissons".
La contraception hormonale (.…) les jeunes s’en méfient. D'ailleurs, elle n’est plus de loin leur premier mode de contraception. « Depuis deux ou trois ans, les jeunes filles veulent de moins en moins de la contraception hormonale. Il y a quinze ans, personne ne nous demandait comment marche la méthode Ogino, la courbe des températures (…). Aujourd’hui ça revient vraiment", explique Cécile Laurent.
« La pilule contraceptive n'est plus perçue par les jeunes étudiantes de l'université de Bruxelles comme un instrument de libération.»
Nous faisons nôtre le dernier conseil que le Professeur Henri Joyeux donne aux jeunes dans son livre La pilule contraceptive:"Ne vous précipitez pas dans la sexualité (...) Le vrai amour se construit avec le coeur, dans la patience, la confiance et le respect."
Le vent tourne , en 2013, éclata le scandale des pilules de deuxième et troisième génération et une Enquête " Pilule : réagissez", réalisée entre le 30 janvier et le 6 février 2013 par le Journal des femmes, nous apprend qu’une femme sur quatre envisage de changer de contraception, 16% des femmes se disent prêtes à « arrêter la pilule. »
Nous avons mis l'accent, au cours de notre manuscrit, sur l'importance d'une dose suffisante et nécessaire d'acide folique ou vitamine B9, des mois avant et après le début de la conception afin de mettre la femme ,en âge de procréer et sous contraception hormonales, à l'abri d'une fausse couche, d'un naissance prématurée, d'une malformation congénitale.
30 à 50% des grossesses ne sont pas programmées et de nombreuses femmes en âge de procréer ignorent la nécessité de prendre à titre préventif la vitamine B9, c'est pourquoi nous invitons les femmes et particulièrement à celles qui prennent une contraception hormonale, étant donné que celle-ci fait chuter le taux de la vitamine B9.à se procurer une préparation pharmaceutique contenant 0,4 mg d'acide folique et à prendre cette dose chaque jour avec le comprimé contraceptif. Ce n'est certainement pas la firme Bayer qui contredira ces femmes, elle qui a aux E-U deux spécialités contraceptives (Beyas, Safyrall) dans lesquelles à chaque comprimé est adjoint 0,451 mg d'acide folique!
De plus afin de prévenir ,chez toutes femmes sous contraception hormonale, une thrombose veineuse profonde , une embolie pulmonaire, le dépistage sanguin de la mutation de Leyden, par la recherche d'une résistance à la protéine C, devrait impérativement être effectué!
Laissons le dernier mot à Madame, belle sœur de Louis quatorze, félicitée sur le retour de sa santé par la jeune future reine de France, à quoi Madame répond : "Grâce à Dieu, j’ai neutralisé les initiatives des médecins, sinon je serais morte. Je leur ai déclaré il y a longtemps : « Ma santé et mon corps étant à moi, j’entends les gouverner à ma guise. » (…) Ils m’ont obéie. Et vous aussi ma chère enfant, ne l’oubliez pas votre santé et votre corps sont à vous. » [7]